Trop de compétences professionnelles et pas assez de transversales : le paradoxe des jeunes actifs diplômés du supérieur

Le Céreq s’interroge sur le débat entre compétences spécialisées et transversales.

Alors que la tendance est à la professionnalisation des formations du supérieur, les jeunes titulaires d’un master qui entrent dans la vie active estiment que leur emploi exige parfois un niveau de compétences professionnelles inférieur à celui qu’ils ont atteint. « À l’inverse, le niveau de compétences les plus transversales requises dans l’emploi apparaît, aux yeux des jeunes, supérieur à celui acquis en formation initiale », note une étude du Cereq publiée fin juin 2021.